Je sais que j’ai de la peine à "faire court" et m’excuse donc par avance si je me suis laissé un peu emporter.
Prologue : la recherche
Je savais pertinemment que, lors de mon retour de vacances au soleil, mon escale dans la capitale espagnole allait durer quelques heures. Mais dans mon esprit coquin, j’avais déjà prévu la manière de meubler ce temps : pas question d’errer dans les galeries marchandes de l’aéroport ! Et ce d’autant plus que le centre-ville est à 30 minutes en métro.
Fort de mon expérience et maîtrisant plutôt bien le castillan, je me suis dis que la meilleure manière de dénicher un bon plan serait de visiter le principal forum espagnol dédié au sujet, et éventuellement de m’y inscrire. Ce fut chose faite, sur http://www.spalumi.com sous le pseudo de Sokoloff (mystérieusement, "Sokolov" était déjà pris).
Bref, je cherche, je compulse, je lis beaucoup d’EV, je localise les différents lieux intéressants sur un plan, mais tout ça sans savoir vraiment ce que veux : un salon ? une escort en hôtel ? un style FKK ? Et c’est là que je découvre le concept espagnol de l’appartement ("piso") ou villa ("chalet"), équivalents des anciens salons suisses en appartement. Mais surtout, je constate que les prix sont réellement abordables pour des "scénarios spéciaux" à trois. On distingue du reste le "lésbico" (interaction entre les deux filles) du "duplex"(pas d’interaction, elles ne se touchent pas).
Et c’est dans les pages du forum que je tombe sur un site complètement dingue, d’un groupe de jeunes filles (18-25 ans) extrêmement esthétiques : http://www.somostusvecinitas.com ("nous sommes tes petites voisines"). C’est la révélation !
Chapitre 1 : Les petites voisines
Je passes un sacré moment à lire les témoignages sur le forum "spalumi" depuis l’ouverture de ce lieu. Par hasard, je découvre que le site a également un propre forum, bourré de photos, de promotions et d’infos. Les renseignements que j’obtiens montrent qu’il s’agit d’une villa d’un bon standing, très discrète et très bien située. Les filles sont presque toutes en formation (école professionnelle, études ou apprentissage) ; elles viennent après leurs cours.
Avec 4-5 jours d’avance, j’adresse un e-mail demandant les disponibilités pour le jour de mon escale, car en principe c’est férié (Epiphanie). Il faudra quand même jouer serré, car les horaires d’ouverture sont réduits (16h – 22h30). Pas de réponse, ni d’informations sur les filles qui seront présentes… Je relance l’avant-veille, en réservant directement 45 minutes de "lésbico" avec Laura et Irene, pour 180 €. Des prix de folie ! Le couperet tombe : moins d’une heure après mon mail, la responsable du lieu m’informe que ce sera fermé pour cause de jour férié.
La déception est grande. Retour à la case départ, c’est-à-dire le forum "spalumi" où mon choix se porte finalement sur "Elegance Escorts", un appartement du centre-ville. La particularité ? Laura, quasiment une star dans le milieu ; elle fait l’unanimité auprès de tous ceux qui ont posté une EV sur elle. Après tout, "on verra bien…" me dis-je.
Chapitre 2 : La réactivité de Cris
Je prends contact par MP, moins de 24 heures avant mon escale. Cris, qui s’occupe des "relations publiques", me répond immédiatement que ce sera ouvert et m’informe des disponibilités. Je choisis Laura et Camila et demande un "lésbico" qui, malheureusement, se transformera en "duplex", car l’une d’entre elles n’est pas bi. En quelques dizaines de minutes, le tout est réservé et agendé : une heure à 150 €, avec 10 € de supplément en cas de CIM (fellation royale). Là, de nouveau des prix de dingue !!
Depuis l’aéroport, il faut compter 40 minutes jusqu’à l’adresse de l’appartement. L’arrêt de métro le plus proche est à 5 minutes à pied. C’est un immeuble ancien du centre, dans une rue résidentielle et commerciale, certainement relativement fréquentée en semaine, mais rien de bien méchant ce jour-là. L’entrée est discrète, avec une série de sonnettes sans nom, ne mentionnant que l’étage et la lettre de l’appartement. C’est au premier étage, donc l’accès est facile.
La porte s’ouvre et je découvre Cris, une petite jeune femme très souriante, ronde, qui me fait rentrer et me met immédiatement à l’aise. Elle est très sympa, a le contact facile et me confirme que j’ai fait un très bon choix. Elle me dit que Laura et Camilla sont prêtes et vont venir se présenter à tour de rôle, afin de faire connaissance. Je jette un coup d’œil autour de moi : la chambre est spacieuse, agréablement éclairée (style jeune avec coussins "Union Jack") et donne accès sur une salle de bains propre, bien illuminée. Je remarque quelques sachets de désinfectant buccal sur le lavabo, ainsi que trois linges propres soigneusement pliés. Sur le lit, un drap jetable a été disposé. Cela respire l’hygiène la plus absolue.
Chapitre 3 : L’élégance de Laura et Camilla
Camilla frappe et rentre, tout sourire. Elle doit avoir 25 ans, petite mais bien proportionnée, robe noire ajustée, talons, style latine sexy aux cheveux noirs et lisses. Elle me demande si tout va bien et si elle me plaît. C’est clair ! Puis arrive Laura. C’est une bombe ! J’en reste bouche bée. Blonde, yeux bleus, mince, entre 22 et 25 ans, robe noire ajustée également, talons, une sourire angélique. Elle est Espagnole, de mère Française. Elle n’a pas besoin de me demander si elle me plaît, je suis dans le même état que le loup de Tex Avery.
Quand je sors de la douche, elle sont toutes deux assises sur le lit, sourires coquins aux lèvres. Je me retrouve rapidement sans mon linge, Laura à gauche, Camilla à droite. Caresses, "french kiss", léchouilles… ça commence fort ! Elles me demandent de dézipper leurs robes, ce que je fais avec plaisir. Si celle de Camilla est belle est douce, la poitrine de Laura est tout simplement spectaculaire : naturelle, en forme de poire, d’une taille absolument parfaite. Je titille et mordille, seins et oreilles et occupe mes mains à découvrir leurs intimités respectives. Quel pied ! Elles sont très réactives, chacune à sa manière : je sens mes doigts devenir humides… ma bouche est constamment occupée, soit par une langue ou un téton. À un certain moment, je me couche sur le lit ; elle se positionnent chacune d’un côté, et je vois Laura me prendre en bouche…
Chapitre 4 : Paradise City
Camilla en veut aussi… Elles alternent, l’une après l’autre, d’un style propre à chacune : la blonde appuie davantage que la brune qui, elle, préfère enrouler doucement autour du gland et gober le tout façon "gorge profonde". Puis, en simultané avec léchages des testicules en prime. Du grand art !
Je reprends un peu mes esprits et demande à Camilla d’offrir son intimité à ma bouche. Les soupirs deviennent profonds, rythmés, elle se tortille, prend mes mains et les pose sur sa poitrine. Je m’attaque à son bouton avec application, mais ne suis pas dans la bonne position pour lui prodiguer un "Sokolov Spécial". Inutile : son sexe est déjà trempé, mon visage également... Pendant ce temps, Laura continue son travail de sape, et me suce comme une assoiffée.
Avant qu’un séisme ne vienne, dans le meilleurs des cas provoquer un orgasme ou, dans le pire des cas un incident cardiaque, je demande un temps mort et, accessoirement, mon verre d’eau. Pendant que Laura va le prendre sur la table, Camilla m’embrasse et nettoie mon visage de ses propres fluides comme une chatte le ferait à son petit. Quelle langue !
On repart au corps-à-corps cinq minutes plus tard. Cette fois-ci, Laura demande explicitement un cunnilingus "pas trop appuyé". Tout comme sa collègue, elle a un pouvoir de lubrification au-dessus de la moyenne. La bouche à nouveau trempée, je lève un instant la tête et observe son visage angélique figé en une moue particulièrement extatique : bouche entrouverte, yeux mi-clos, ses doigts pinçant doucement ses tétons, et gémissant doucement. Inoubliable ! Et comme Camilla sait ce que j’aime, elle joue habilement de sa langue autour de mon sexe.
Sentant ma résistance s’émousser de plus en plus, je demande qu’elles échangent leurs places. Je goûte à nouveau aux lèvres de Camilla pendant que Laura, sans trop d’effort, m’amène au sommet du plaisir et me laisse me vider dans sa bouche… 45 minutes de folie !!
Je retombe peu à peu, les yeux encore pleins d’étincelles, Camilla me caressant le visage. Bisou par-ci, bisous par là. Puis elle me nettoie, doucement, tranquillement. Sourires. J’entends Laura qui se rince la bouche dans la salle de bains, je la vois revenir et observe son corps sans défaut. Sourires.
Elles m’embrassent à nouveau et me proposent un massage à quatre mains. Mon dos se souvient encore de ce quart d’heure magique, et mes mains de l’immense douceur de leurs peaux. Deux princesses me caressent… je ronronne… je suis un chat.
Chapitre 5 : Belles, belles, belles…
Tranquillement, elles se lèvent et commencent à rassembler leurs habits. Je prends le temps de les observer : visages, corps, attitudes, comportements. Le feeling a passé avec les deux, c’est incontestable.
Camilla est la plus câline, féline même, du genre à se frotter en demandant des caresses d’un regard implorant. Très légèrement potelée et extrêmement douce, elle aime donner autant que recevoir. A eu un peu de peine à se lâcher au début, mais ensuite ce fût parfait.
Laura, c’est la technicienne : va droit au but. Coquine mais moins câline, elle recherche l’efficacité avant les sentiments. Un corps parfait, mais elle sait rester modeste. Une poitrine parfaitement dessinée et incroyablement réactive.
[Petit aparté : Je tiens à préciser que le fait de ne pas avoir pratiqué le coït a été une volonté de ma part. De plus en plus (c’est peut-être l’âge), je fais l’impasse sur la pénétration. Adepte de l’anal, que je écarte pour des raisons de coûts, je me laisse volontiers aller en CIM (royale), en COB (jouissance sur le corps) ou COF (sur le visage). Tout dépend du feeling. Dans ce cas précis, j’avais très envie de finir dans la bouche de cette belle blonde.]
Chapitre 6 : Clair comme Cristal
Une fois remis de mes nombreuses émotions, douché et habillé, je demande à parler à Cris. Non seulement je lui devais 10 € pour le "francés hasta el final" (CIM), laissé en suspens lors du paiement initial, mais je voulais surtout manifester ma plus vive satisfaction suite aux performances de ses protégées.
Cristal est son nom d’artiste, du temps où elle officiait dans différents lieux de plaisirs tarifés de la capitale. Elle m’a avoué ses 27 ans, son surpoids dû à une grossesse difficile, et le fait qu’elle ne souhaite pas être tenancière de lupanar pendant toute sa vie. C’est elle qui a découvert Laura, il y a deux ans. Son succès a été fulgurant, mais son ampleur a failli entamer la santé de la jolie blonde : elle enchaînait les clients à tel point que Cris a dû instaurer un "numerus clausus" et augmenter les prix (uniquement pour Laura).
Si je l’avais laissé parler, j’aurais certainement raté mon vol pour Genève. J’ai appris beaucoup de choses sur le sexe tarifé en Espagne, notamment les hautes exigences des clients qui font que, la plupart du temps, la fellation naturelle voire l’anal sont inclus dans le prix de base. Selon Cris, si des filles espagnoles viennent en Suisse pour travailler, ce n’est pas seulement parce que les prix y sont plus élevés, mais surtout parce que les clients suisses sont moins exigeants.
Epilogue : Je reviendrai
À la sortie, les deux belles viennent me souhaiter bon voyage. Bisous, bisous. Grand sourire de Laura. Camilla s’accroche plus longtemps à moi, me regarde d’un air câlin et me demande si je vais bientôt revenir. C’est clair… dès que je peux m’échapper du congélateur suisse, je me pointe chez Elegance.
Je vous remercie d’avoir eu la patience de me lire jusqu’au bout.
Quelques liens :
http://www.spalumi.com
http://www.somostusvecinitas.com
http://www.elegancescorts.es
Quelque illustrations :
Laura
Camilla
La chambre
Wouhaaaa 
Ben voilà quoi, ici et pour le bon mieux que ce soit! 